Depuis la découverte, il y a 25 ans, de la première exoplanète, soit d’une planète orbitant autour d’un autre soleil de la galaxie, plus de 4300 objets semblables ont été repérés. Lorsque toutes les corrections seront faites, le niveau de précision atteindra cinquante millionièmes (5x 10-5). Il a été conçu par un consortium d'instituts européens, dirigé par l'Institut de Planétologie et d'Astrophysique de Grenoble (CNRS/Université Grenoble Alpes). Oui, cela s'est passé pendant la phase d'évaluation.

Conformément à la loi informatique et liberté du 6 janvier 1978, mise à jour par la loi du 6 août 2004, vous disposez d'un droit d'accès, de rectification et d'opposition aux données vous concernant en écrivant à l'adresse abonnements@sciencesetavenir.frUn puissant séisme de magnitude 6,6 a secoué le centre des PhilippinesDiabète : des organoïdes à greffer insensibles au système immunitaireVotre adresse nous sert à envoyer les newsletters qui vous intéressent. Le seul scénario qui colle à leur présence est l'existence d'une planète géante qui a survécu à la succession d'événements catastrophiques qui ont conduit à la formation de la naine blanche.
Ils estiment ainsi que de nombreuses autres naines blanches abritent également des planètes indétectées et appellent à mener des recherches pour les dénicher. Depuis 1995 en effet, date à laquelle la première planète extrasolaire 51 Pegasi a été découverte, plus de 3600 exoplanètes ont été signalées mais pour la quasi-totalité d'entre elles, il s'agit d'une détection indirecte ! La première exoterre potentiellement habitable découverte par Tess n'est qu'à 100 années-lumière. Cette découverte, publiée dans la revue En combinant les observations avec des modèles théoriques, les chercheurs ont pu avoir un aperçu assez complet de ce système. En commençant par des naines blanches moins "chaudes" qui permettraient de réaliser des observations directes de ces astres.Les naines blanches constituent la dernière étape de l'évolution des étoiles qui possèdent une masse similaire au Soleil. Vous aimerez également : Découverte d’une exoplanète semblable à la Terre située dans la zone habitable de son étoile. Ces nouvelles observations ont confirmé la présence des trois éléments autour de l'étoile et ont révélé qu'ils étaient tapis dans un anneau de gaz qui tourbillonne autour d'elle.Encore plus intriguant, l'oxygène, l'hydrogène et le soufre ne proviennent pas de l'étoile !

Michaël Gillon : "Des exoplanètes potentiellement habitables par milliards"Coronavirus : le port du masque obligatoire en open spaceMichaël Gillon : "Des exoplanètes potentiellement habitables par milliards"Proche du T. rex, un dino aux os creux comme un oiseauCovid-19 : une crise aux conséquences écologiques masquéesLancée il y a 15 ans, la sonde MRO a révolutionné les sciences martiennesCoronavirus : le port du masque obligatoire en open spaceVotre adresse nous sert à envoyer les newsletters qui vous intéressent. Cela nous oblige à revenir sur chaque observation à plusieurs reprises. La première a être "vue" directement. Notre étoile finira donc ainsi sa vie dans quelques 5 à 6 milliards d'années. Mais soudain, en mai 2017,  de nouveaux résultats ont montré que cette prétendue première planète n'était en réalité qu'une étoile faible en arrière plan dans le champ ! Ce sont des anomalies dans la position de l'étoile qui ont permis de conclure à la présence d'une planète, ou une baisse de la luminosité attribuée au passage devant son Soleil.

Tess découvre la première exoplanète au-dessus du plan galactique. Ainsi, dans les données de la première exoplanète découverte par Corot (Corot-Exo-1b), la précision est de trois dix millièmes en une heure d’observation (3x 10-4). Et c'est une première pour une naine blanche.

Il est capable de détecter une planète dont la luminosité est un million de fois plus faible que celle de son étoile. Elle a annoncé avoir réalisé la première observation directe d'une exoplanète, et a publié ses résultats dans la revue Science. L’exoplanète repérée à l’aide de TESS n’est pas la première qui a été découverte en orbite autour d’une étoile binaire.

Grâce à l'instrument de détection Sphere qui équipe le Très Grand Telescope (VLT) au Chili, il devient possible d'obtenir directement l'image de certaines exoplanètes.C'est la première  exoplanète détectée et même photographié par le très grand télescope (VLT) de l'Eso. Le seul scénario qui colle à leur présence est l'existence d'une planète géante qui a survécu à la succession d'événements catastrophiques qui ont conduit à la formation de la naine blanche. Sa masse est 6 à 12 fois celle de Jupiter et elle est située à 385 années-lumière de nous. Les deux instruments sont les seuls capables de faire directement un cliché des exoplanètes.
Sa photo a été divulguée. Pour en apprendre plus, les scientifiques l'ont étudiée à l'aide de l'instrument X-shooter, un spectroscope multibandes, installé sur le Très grand télescope de l'ESO (VLT), au Chili. Ces nouvelles observations ont confirmé la présence des trois éléments autour de l'étoile et ont révélé qu'ils étaient tapis dans un anneau de gaz qui tourbillonne autour d'elle.Encore plus intriguant, l'oxygène, l'hydrogène et le soufre ne proviennent pas de l'étoile ! Son concurrent est le GPI (Gemini Planet Imager) monté sur le télescope Gemini Sud, également au Chili et géré par un consortium formé par les Etats Unis, le Canada, le Royaume Uni, l'Australie, le Brésil, le Chili et l'Argentine.