Pas très crédible tout ça.




(4,99 €) Dommage.

Location à partir de Premier film de l’allemande Eva Trobisch, Comme si de rien n’était raconte l’histoire de Janne, une jeune femme volontaire dont l’existence banale, partagée entre ses activités dans l’édition et sa relation avec son copain Piet, vacille lorsqu’elle est violée, à la fin d’une fête de promotion, par un ancien camarade d’études qu’elle a accepté d’héberger pour la nuit.

En dépit de sa souffrance, Tartarin souriait et menait paisiblement sa même vie, comme si de rien n’était. Deux méga méthaniseurs aux perspectives inquiétantes quant à ce qu’absorbent et ce que rejettent ces …

Suivre son activité Il y a quelques mois, le film slovaque Sans jamais le dire montrait les conséquences désastreuses d'un viol sur le mental d'une jeune femme qui dissimulait le traumatisme à ses proches. Faire un film sur une histoire de viol dans lequel la jeune femme violée "ne veut pas en faire un plat" alors que le violeur semble beaucoup plus affecté par ce qu'il a fait, après tout, pourquoi pas, d'autant plus que le film a été tourné par une femme avant l'affaire Weinstein et l'émergence du mouvement #MeToo. (2,99 €)



Le titre original de Comme si de rien n’était, le premier long métrage de l’Allemande Eva Trobisch, est Alles ist Gut (Tout va bien). Location à partir de



Anecdotes de tournage, notes d'intention, informations cinéphiles : chaque semaine, découvrez les coulisses des sorties cinéma. Présentation de la revue par son éditeur : L’agriculture du monde d’après ?En Loire-Atlantique, elle fait comme si de rien n’était. Eva Trobisch n'avait pas dans l'idée de faire un film sur le viol, c'est une chose qui est venue dans un second temps.
Eva Trobisch a choisi de montrer le viol de l'héroïne de façon anti-spectaculaire, banale.

Née en 1983, Eva a commencé sa carrière en tant qu'assistante au théâtre puis au cinéma.

Publiée le 28 mars 2019

L’ irrégulomadaire satirique La Lettre à Lulu dévoile deux gros projets d’usines à gaz de bouse au nord et au sud de Nantes. L'acte est minable, pathétique, et ne dure que 30 secondes.