Dates & lieux pour EGYPS - EGYPT PETROLEUM SHOW 2021 - Salon international du pétrole et du gaz en Egypte 2). 1 540

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Le secteur de l'énergie en Égypte est marqué notamment par le gaz naturel et le pétrole.

L'Égypte est un producteur significatif d'hydrocarbures, représentant 0,7 % de la production mondiale de pétrole et 1,5 % de celle de gaz naturel en 2018Le pétrole Égyptien est principalement extrait dans le L'autre région productrice de pétrole se situe dans le Les réserves de gaz naturel de l'Égypte sont estimées par BP à 2 100 milliards de mètres cubes fin 2018, au Outre le gaz associé des bassins pétrolier, l'Égypte possède une importante province gazière dans le Longtemps exportateur (fournissant plusieurs pays d'Europe), l'Égypte est devenu un importateur net de pétrole vers 2010, les courbes de production et de consommation se croisant. En attendant d'assurer son approvisionnement en gaz naturel grâce à ses gisements dont les volumes de productions sont appelés à croître, le pays va importer du gaz en provenance d'Israël. Début juin, l’Egypte a signalé une découverte de pétrole réalisée par la Borg Al Arab Petroleum Company sur la concession d’Abu Sennan dans le désert occidental, avec un taux de production journalier prévu de 4 100 barils de pétrole brut et 18 millions de pieds cubes de gaz naturel. De nombreux pétroliers (ainsi que des La raffinerie de Mostorod est en cours d'agrandissement. Le gouvernement égyptien a également décidé en 2017 d'investir 26 milliards de dollars dans le gaz et le raffinage de pétrole. La raffinerie de Mostorod est en cours d'agrandissement. Des énergies fossiles qui satisfont encore près de 95 % de la consommation d’énergie égyptienne. Le pays ne produit pas de charbon, et n'en importe qu'une petite quantité destinée à la sidérurgie. En revanche, le taux de succès s’est amélioré et a atteint 70 %, ce qui permet à l’offshore

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La demande représentera, elle, 64,3% à 66,5% du volume de la production prévue en 2040.La production pétrolière des pays africains devrait varier entre 8,5 et 10,3 millions de barils/jour en 2040, ce qui représentera 8,3% à 8,9%  de la production mondiale, selon l’OPAEP.La demande pétrolière des pays africains connaitra, jusqu’en 2040, une hausse annuelle de l’ordre de 2,5% alors que la demande en gaz naturel devrait réaliser une hausse annuelle allant de 3,5% à 3,7% pour atteindre 5,1 à 5,3 millions de barils équivalent pétrole/jour.L’Opaep a rappelé, dans son étude, que le volume global des réserves prouvées de pétrole brut en Afrique, y compris les pays arabes, est estimé à 127 milliards de barils fin 2017 contre 53,4 milliards de barils fin 1980.Ces réserves représentent 7% du total des réserves pétroliers prouvées à l’échelle mondiale.Durant les cinq dernières années, les pays de l’Afrique subsaharienne se sont taillés 30% des découvertes mondiales de pétrole et de gaz.La production globale de pétrole brut en Afrique a atteint, en 2017, près de 7 millions de barils/jour.Pour ce qui est du gaz naturel, les réserves prouvées se sont élevées, selon la même étude, à 15 trillions de mètres cubes fin 2017 contre 6 trillions, en 1980.Les pays arabes viennent en tête en matière d’industrie du gaz naturel, l’Algérie étant le plus grand producteur de cette ressource énergétique dans le continent.L’Afrique a connu des progrès importants dans l’industrie du gaz naturel à travers les découvertes gazières en Egypte, en Méditerranée, ce qui est à même de contribuer à garantir davantage d’approvisionnements en gaz pour les pays du continent et les marchés mondiaux, estimé l’OPAEP.L’Egypte qui a produit en début de l’année en cours 6,8 milliards m3 de gaz naturel envisage d’augmenter sa production à 7,8 milliards de m3 à la fin de cette année.Concernant l’industrie du raffinage, l’étude fait état d’une augmentation des capacités des raffineries africaines à raison de 1,2% par an durant les dernières décennies, soit le double de la moyenne enregistrée à l’échelle mondiale durant la même période.Les capacités de raffinage ont atteint près de 3,5 millions de barils/jour en 2017 contre 2,2 millions de barils/jour en 1980.

L’Egypte dispose d’importantes réserves en gaz naturel, les 18èmes mondiales et les 3èmes en Afrique, derrière le Nigéria et l’Algérie. L’investissement est ciblé sur un programme de développement de 12 projets gaziers et pétroliers devant permettre à l’Egypte d’atteindre l'autosuffisance en gaz dès 2020.

La consommation de pétrole s'établit en 2018 à 760 000 L'autre gazoduc international part également d'Arish et se termine à Néanmoins, ces terminaux ont eu une durée de vie brève : face au manque de gaz dans le pays, la priorité a été donnée au marché interne, et SEGAS LNG a été fermé en 2013Néanmoins, en 2018, une fois le vaste gisement Zohr mis en service, le pays devrait cesser ses importations de gazLe réseau électrique égyptien est relativement clos, il existe des connexions de capacité limité avec la Le gros de la consommation électrique du pays est fourni par des centrales thermiques. All Right Reserved.

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L’Afrique et l’Australie comptent respectivement 5 et 3 % des volumes découverts en 2018 avec, malgré tout, quelques grandes découvertes qui figurent dans les dix plus importantes aussi bien pour le pétrole que pour le gaz.