L'albendazole (ZentelLa thalidomide administrée pendant un mois à une dose de 100 mg/j à dix-huit patients avec des diarrhées résistant à l'albendazole, a entraîné une réponse complète chez sept et partielle chez trois patients (Sharpstone, 1997). Autres étiologies virales, bactériennes, fungiques, protozoaires ou tumorales (lymphome non hodgkinien, sarcome de Kaposi, adénocarcinoma) ont été décrites, mais sont extrêmement rares (Mönkemüller, 1999). The West Region is among the Regions of low HIV prevalence in Cameroon.Patients were enrolled from March 2012 through July 2012. Chez des patients souffrant de diarrhées chroniques, un germe pathogène n'est retrouvé que chez environ 50% des patients (Weber, 1999). Le diagnostic (inclusions nucléaires) ne peut être fait que par une œsogastroduodénoscopie avec des biopsies des ulcères (Clayton et Clayton, 1997). L'aciclovir (5 mg/kg i.v.

– Aberg JA, Yajko DM, Jacobson MA. Des recommandations concernant la prévention d'une telle exposition ont été récemment publiées (USPHS/IDSA Prevention of Opportunistic Infections Working Group, 1999).A mesure que l'immunodéficience progresse, l'endoscopie devient plus importante en raison de la prédisposition croissante des patients aux infections opportunistes gastro-intestinales. 0000114433 00000 n 0000007476 00000 n Les antiprotéases, plus particulièrement le ritonavir et le nelfinavir, sont les agents les plus souvent impliqués (Flexner, 1998 ; Meyer, 1999). Leur incidence n'est probablement pas plus fréquente que chez les homosexuels VIH négatifs (Copé, 1995 ; Yuhan, 1998). L'aciclovir (5 mg/kg i.v. La prophylaxie secondaire peut être tentée par un traitement d'entretien intraveineux de ganciclovir (5 mg/Les œsophagites à VHS sont beaucoup plus rares. La posologie et la durée du traitement restent indéterminées. The ultimate goal of the study was to provide guidance on the prevention and control of co-infections including treatment needs of HIV/AIDS patients The study protocol was approved by the “Cameroon National ethics committee” (CNE) under the registration N° 269/CNE/SE/2011.Participants consulting at the hospitals were kindly requested by the study team to participate in the study. Une rectosigmoïdoscopie est insuffisante puisque certaines colites sont localisées exclusivement dans le côlon droit et que les biopsies iléales peuvent permettre de poser un diagnostic étiologique (Bini, 1998a ; Bini, 1998b ; Kearney, 1999 ; Wei, 2000). Une intervention chirurgicale doit être réalisée chez 5-10% des patients en raison de complications (hémorragies ou perforations) (Kaufman, 1999).L'adénovirus semble pouvoir entraîner des diarrhées chroniques chez des patients souffrant d'un sida à un stade avancé (Grohmann, 1993). 0000014113 00000 n Une étude rétrospective chez 53 sujets VIH positifs, dont la prophylaxie secondaire pour différentes infections opportunistes a été stoppée trois mois après l'introduction d'un traitement antirétroviral, ne montre que deux récidives (une lymphadénite tuberculeuse, une pneumonie à Pneumocystis carinii) pendant une durée de 18 mois (Soriano, 2000). As summarized in The parasites detected in our study population included Globally, most frequently observed parasite in the entire study population was Multi-parasitism was rare in our population. Discover a faster, simpler path to publishing in a high-quality journal. Des coinfections, en particulier avec le CMV, sont fréquentes (Yan, 1998). 0000053498 00000 n A pair sample of stool and blood were collected from each of the participants and used for intestinal parasites and HIV testing respectively. Facteurs de risque d’infection fongique. On trouve des lésions banales comme des hémorroïdes, des fissures ou des abcès, mais aussi des maladies sexuellement transmissibles (condylomes acuminés, gonorrhée, infection à Chlamydia, syphilis, lésions herpétiques ou dues à une infection à CMV) et des lésions spécifiques (sarcome de Kaposi ou lymphomes malins non hodgkiniens (El-Attar, 1999 ; Modesto, 1994). Nous préconisons le traitement par amphotéricine B (0,7 mg/kg/j) pendant quatre semaines en raison d'une plus grande toxicité de l'antimoine (pancréatite, cardio- et néphrotoxicité). La prednisone (40 mg/j) permet d'obtenir une guérison dans la plupart des cas (Wilcox, 1994). Pour la plupart de ces ulcères, l'origine reste indéterminée (ulcère anal ou rectal idiopathique) (Yuhan, 1998). Il semble que l'azithromycine pourrait devenir une alternative thérapeutique de l'infection disséminée par MAC (Kotelar, 1999).Pour empêcher une récidive, le traitement doit être maintenu au long cours (USPHS/IDSA Prevention of opportunistic infections working group, 2000). Les effets secondaires gastro-intestinaux sont fréquents. Wumba R, Enache-Angoulvant A, Develoux M, Mulumba A, Mulumba PM, et al. Les effets secondaires gastro-intestinaux les plus fréquents du traitement antirétroviral sont résumés dans le tableau 1. Toutefois, avant de considérer une candidose comme réfractaire, il faut s'assurer de la compliance du patient, d'éventuels facteurs pharmacocinétiques ou d'interactions médicamenteuses comme cause de non-réponse.Des infections autres comme le Cryptosporidium, l'histoplasmose et le Geotrichium sont décrites, mais elles sont rares. Les Blastocystis hominis ne semblent pas davantage pathogènes chez les patients immunocompromis (Albrecht, 1995 ; Junod, 1995 ; Storgaard, 1996). La prévalence des infections opportunistes gastro-intestinales a également beaucoup diminué avec l'introduction d'un traitement antirétroviral efficace. Le traitement antibiotique des infections opportunistes implique une bonne connaissance des effets secondaires et des interactions médicamenteuses.Dans les pays industrialisés, l'introduction des thérapies antirétrovirales plus efficaces chez les patients VIH positifs, en particulier des antiprotéases, a diminué d'une manière remarquable la mortalité ainsi que la morbidité associée à des infections opportunistes (Palella, 1998 ; Mocroft, 1998 ; Ledergerber, 1999 ; Kaplan, 2000). Les antiprotéases, plus particulièrement le ritonavir et le nelfinavir, sont les agents les plus souvent impliqués (Flexner, 1998 ; Meyer, 1999). Nous ne préconisons donc pas de traitement.La leishmaniose viscérale est endémique dans les pays méditerranéens (Gradoni, 1996).