Copyright © 2001 - Kababachir. Des émeutes fomentées par le PDG-RAD, en 1958, neutralisent une fois pour toutes les autres partis politiques.En Mai 1958 le Général De Gaulle revient au pouvoir en France et entreprend une tournée africaine pour proposer aux colonies le statut de la Communauté dans la nouvelle constitution.
Ils se trouvèrent rapidement circonscrits dans ce qui est devenu aujourd’hui la Guinée-Bissau.Les Britanniques finirent par se contenter sans trop de difficultés de la Sierra Leone. « Selon une légende, à l’origine il y avait dans l’île Tombo, non loin l’actuel port, un fromager géant sous lequel un paysan Baga du nom de Cona, qui avait construit sa case. - Histoire du #PSG - […] En 2000, le PSG reçoit les brésiliens du Corinthians au Parc des … A partir de 1882 est nommé Gouverneur de la colonie des rivières du Sud, Ballay lui succède en 1890. A Conakry dans un fameux discours, Sékou Touré refuse cette offre et propose de dire « non » à la communauté si l’option de l’indépendance à l’intérieur de celle-ci n’est pas ouverte. Ancien directeur du cabinet d’Alassane Ouattara, lorsqu’il était Premier ministre de Côte d’Ivoire, Sydia Touré est présenté comme un technocrate libéral et expérimenté, qui a montré sa capacité à gouverner. Le français devint la langue de l’Administration.
Les autres pays de l’Europe, comme la France, la Grande-Bretagne et la Hollande, furent incapables de s’opposer au traité de Tordesillas jusqu’à la fin du XVIe siècle.Les Portugais furent les premiers Européens, au XVe siècle, à longer les côtes de la Guinée et à entrer en contact avec les populations qui s’y trouvaient. Quant à la Guinée forestière, elle abrite surtout des Malinkés (35 % d’entre eux), mais aussi des petites ethnies telles que les Kissiens, les Tomas, les Guerzés, etc.Les Guinéens utilisent essentiellement des langues nigéro-congolaises, telles que le poular (32 %) parlé par les Peuls, le maninka (24 %) parlé par les Malinkés, le soussou (10 %), le guerzé (3,8 %), le kissi (3,5 %), le toma (1,8 %), le dialonké (1,8 %), etc.Le français est la langue officielle du pays, mais seulement de 15 % à 25 % des Guinéens le pratiquent; dans les campagnes éloignées, cette langue demeure à peu près inconnue.
Mais l’almamy Samory Touré mena une guerre organisée contre l’occupation française sur la côte et dans les massifs montagneux du Sud-Est, jusqu’à ce qu’il fut vaincu en 1898. Venus de Diafounou (République du Mali) sous la direction d’Abdrahmane KABA ,des marchands Sarakollé ou Maraka s’installèrent le long du fleuve Milo et créèrent le royaume musulman de Batè. Le premier village des Kaba, appélé Kodian fut fondé sur les bords de la rivière du même nom à la rentrée de Diankana en venant de Karifamoriah. Chaque partie de la Kaba est nommée comme suit :
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La première élection présidentielle comprenant plusieurs partis est organisée en décembre 1993. Le même décret annonçait le limogeage du Premier ministre Lamine Sidimé assorti d’un léger remaniement ministériel. Djdey lui même sera pourchassé jusqu’au Wassolon où il fut tué.La nouvelle de la perte de Oumarouba se répandit et fut accueillie dans le Batè avec la plus grande indignation .Son jeune frere DAYE KABA prit la relève .Les exactions de la part des Sankaranka poussèrent les habitants du Batè à s’assurer une position plus stable .La solution préconisée à cet effet, fut de tendre la main à l’Almamy Samori parce que celui-ci d’une part possédait une puissante armée, d’autre part il était coreligionnaires des Maninka-Mori. Sur les bases de ces données, on pourrait affirmer que les Peuls (ou Poulars) constituaient le groupe ethnique numériquement le plus important (40 % en 1955), suivis des Maninkas (connus sous le nom de Malinkés: 35 % en 1955), des Soussos (15 % en 1955), puis des Guerzés, des Kissiens, des Tomas, des Landoumas, des Bagas, etc.En Guinée-Conakry, l’appartenance à une ethnie se révèle d’autant plus complexe qu’il existe de nombreux «regroupements» (mixages) dont il faut tenir compte. Cette cueillette exigeait un travail énorme, ramassage sur d’immenses étendues, obligeant les populations à aller chercher le caoutchouc de plus en plus loin.
Parlant de cette mission ,Kaba SOUMAORO nous signale : Le L'histoire de la construction de la Kaba après la naissance du Les premiers historiographes parlèrent des changements dans certaines caractéristiques de la Kaba au cours de cette reconstruction par rapport à celle du Les changements survenus dans la reconstruction de la Kaba comprenaient l’augmentation de sa hauteur, la diminution de sa longueur, condamner et murer la porte ouest, augmenter la hauteur de la porte est.Après cette reconstruction, suite à l'attaque de l'armée de Après la dixième reconstruction de la Kaba par al-Hajjâj, l’édifice ne subit aucune modification ou reconstruction jusqu’en 1039 H (1630 C), lorsqu'une inondation à Le seul mur restant intact était le mur sud, qui présentait néanmoins de nombreuses fractures et nécessitait d'importantes réparations. Ils fondent le royaume du Batè (entre deux fleuves) don Kankan est la métropole.Les villages qu’ils fondent sont Diankana, Foussén, Karifamoriah, Bankonko, Forécariah, Tassilima, Nafadji. Présence des sarrasins en France avant et après la Bataille de Poitiers