On a dit trinquer les verres pour : les choquer en buvant. Lors de leurs repas, les Grecs et les Romains versaient des libations à leurs dieux, et lors des banquets cérémoniels, ils buvaient en leur honneur ainsi qu'en celui des morts »4. Seulement, de nos jours, nos verres ne se cognent qu'une seule fois... et beaucoup moins fort.En parallèle, sans savoir trop pourquoi, "tchin-tchin" est souvent prononcé lorsque l'on trinque. Anniversaires, mariages, dîners entre amis: pour de nombreuses occasions, nous avons pris pour habitude de trinquer. Les réponses à votre question sur que veut dire Trinquer présentées sur ce site peuvent être complétées par vos commentaires. A minuit, les invités ont trinqué à la nouvelle année Traductions en contexte de trinquer en en français-espagnol avec Reverso Context : Vous savez, je ne suis pas très à l'aise de trinquer en l'honneur de ma fille Utilisez le dictionnaire Français-Espagnol de Reverso pour traduire trinquer à la santé de qn et beaucoup d'autres mots. Pour la plupart des gens, un apéritif ne peut commencer sans qu'on ait trinqué. Les verres étant emplis l’on trinqua et l’on but, puis il y eut entre les deux hommes un assez long silence lourd de gêne, […]. En Europe, on trinque généralement avec un verre d'alcool (bière, vin, cidre, vodka, De nos jours, on ne cogne qu'une seule fois les verres entre eux, mais on continue à dire deux fois « tchin ». Chacun devait ensuite boire une première gorgée en regardant l'autre dans les yeux. Ajoutez : - REM. A l'époque, pour éliminer ses rivaux, l'empoisonnement était très fréquent. que trinquer au Moyen Âge permettait d'échanger un peu du breuvage des deux verres, et donc d'en boire le contenu sans craindre que votre convive vienne de l'empoisonner. Si désormais la confiance est de mise, la tradition a toutefois perduré. Pour limiter les risques, les grands seigneurs avaient alors pris l'habitude de trinquer, faisant en sorte qu’un peu du contenu de chaque verre se retrouve dans l’autre, lorsqu'ils s'entrechoquaient.Trinquer se faisait alors en deux temps: l'un des buveurs frappait son verre contre celui de l'autre en y versant un peu de son breuvage, puis le second frappait son verre contre celui du premier, en faisant de même.

Certaines personnes sont parfois même méfiantes envers celui qui n'a pas respecté la tradition, comportement qui peut être expliqué par l'origine de cette pratique. Mais d'où vient cette étrange tradition de cogner nos verres, les yeux dans les yeux, en prononçant "tchin-tchin"?Pour la plupart des gens, un apéritif ne peut commencer sans qu'on ait trinqué. A l'époque, pour éliminer ses rivaux, l'empoisonnement était très fréquent. Preuve qu'il n'y avait pas de mauvaise intention...Trinquer était alors un signe de confiance, une personne mal intentionnée ne prenant pas le risque de boire son propre poison. Cette coutume assez particulière remonte au Moyen-âge. Trinquer en cognant les verres l’un contre l’autre est une coutume qui date du Moyen Age. des Deux-Mondes, 1er mai 1877, p. 64) Trinquer signifiant boire en choquant, on ne peut dire trinquer les verres. D'autres diront que cette formule vient de Chine. A cette époque là, l’empoisonnement était une pratique relativement courante lors des banquets entre seigneurs concurrents, nobles et autres notables. — On entend que musique et tapage, fracas de bouteilles qu'on débouche et de verres qu'on trinque (A. THEURIET Rev. A l'époque, "qing qing" (qui signifie "je vous en prie") était utilisée pour inviter quelqu'un à boire. Selon la même histoire, cette expression symbolise le bruit des verres qui s'entrechoquent. « [Trinquer] est probablement un vestige des libations sacrificielles dans lequel un liquide sacré avait été offert …

Pour limiter les risques, les grands seigneurs avaient alors pris l'habitude de trinquer, faisant en sorte qu’un peu du contenu de chaque verre se retrouve … — (Louis Pergaud, Joséphine est enceinte, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)

Ce seraient alors les soldats, de retour de la campagne de Chine, qui auraient introduit cette expression chez nous. TRINQUER. — (Louis Pergaud, Joséphine est enceinte, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921) - Marcoul ne peut s’abstenir de trinquer avec son sauveur. Cette coutume assez particulière remonte au Moyen-âge.

Au Cette pratique existe dans presque tous les pays du monde.

Lors de leurs repas, les Grecs et les Romains versaient des libations à leurs dieux, et lors des banquets cérémoniels, ils buvaient en leur honneur ainsi qu'en celui des morts »« [Trinquer] est probablement un vestige des libations sacrificielles dans lequel un liquide sacré avait été offert aux dieux : du sang ou du vin en échange d'un souhait ; prière résumée dans les mots « La coutume de boire à la « santé » des vivants provient probablement du rite antique de boire en l'honneur des dieux et des morts. Certaines sources font remonter cette pratique à l'antiquité : « La coutume de boire à la « santé » des vivants provient probablement du rite antique de boire en l'honneur des dieux et des morts.