Les Français prirent encore parti pour Abd-el-Kader. Dans ces territoires, les deux tiers de l'Algérie, Abd El-Kader s'efforce d'organiser un État indépendant et souverain, sur une base religieuse.Le 5 mai 1839, il demanda et obtint l'appui du sultan du Maroc, ainsi que la concession du territoire situé entre Oujda et Tafna.


Le burnous blanc qu'il y portait, et qui y fut rougi du sang des siens, a été conservé comme une relique.Depuis la prise d'Alger, le parti musulmane semblait avoir recouvré sa liberté, mais il était pour ainsi dire sans chef : Mahieddine, tout influent qu'il était, n'était pas souverain. Les cendres d'Abdelkader furent récupérées en 1965 et se trouvent aujourd'hui au cimetière d'El-Alia à Alger.
« Je suis en deuil et un Arabe en deuil ne quitte pas sa tente ; je suis en deuil de ma Liberté, je ne quitterai donc pas ma chambre ».L'image romanesque du grand chef vaincu, du patriote inflexible, attire les curieux en quête d'un frisson romanesque. « Très-bonne, et la tienne ? Abdelkader ibn Muhieddine, known as the Emir Abdelkader or Abdelkader El Djezairi, was an Algerian "Sharif" religious and military leader who led a struggle against the French colonial invasion in the mid-19th century. J'écris,je peins,je dessine,je photographie,.... Après que l'affaire de la Macta eut consolidé sa puissance, il songea à se créer une force militaire permanente. Il délimita en outre la frontière entre les deux pays. Des infos à partager ?Si vous connaissez un site qui parle d'Abd El-Kader et susceptible d'apporter des informations complémentaires à cette page, vous pouvez Les cendres d'Abdelkader furent récupérées en 1965 et se trouvent aujourd'hui au cimetière d'El-Alia à Alger. Dans la diligence qui le conduit de Sète en Béarn, l'émir a ces mots pathétiques : « Je vois ces plaines verdoyantes, ces vergers, ces forêts, ces fleuves et ces rivières ; tant d'abondance ! L'émir, en passant le Chéliff, avait violé les conventions. Abd-el-Kader demandait une lettre d'aman («assurances») pour lui et ceux qui l'accompagnaient. C’est l’histoire de l’incroyable trahison de Moulay Abderrahmane (sultan du Maroc) et de son fils El ‘Agoun (l’Idiot), qui commandita une tentative d’assassinat de l’émir. ».Et sans hésiter, il sort d'Oran à la tête de deux mille hommes bien armés, le 26 juin 1835. Le jeune Abd-El-Kader s'y distingua particulièrement ; il semblait être à l'abri des balles et des boulets ; il eut deux chevaux tués sous lui. Au mois d'octobre, dans l'ouest de la Mitidja, l'émir prend en embuscade le commandant Raffet et une centaine de soldats français ; ces derniers marchent contre lui et reprennent Cherchell, Mildah, Miliana, etc.Le tournant de la guerre fut la nomination du maréchal Bugeaud comme gouverneur général de l'Algérie en 1842. La tactique réussit, les arrivages cessèrent sur les marchés français.

Les hommes de cette tribu se refusèrent à payer zakât (l'achour), alléguant que la cessation de la guerre rendait cet impôt inutile, et qu'ils ne reconnaissaient pas pour leurs maîtres les infidèles et leurs alliés.

C'est de cette époque que datent les nombreuses richesses d'Abd-El-Kader et sa haute influence sur toute la contrée. Enfin le général aperçut l'escorte de l'émir, rangée en bon ordre sur des mamelons épars. Le premier soin du nouveau gouverneur fut de travailler à détacher les tribus les plus puissantes de la cause de l'émir. »En 1832, le titre de sultan fut alors accordé à Abd-El-Kader, les chefs s'inclinèrent et lui présentèrent le burnous violet. Les troupes de l'émir, battues au Sig (Algérie), à Abra , à Tafna, à Idbar, se dispersèrent et le laissèrent presque seul.Abd-El-Kader ne tarda pas à se faire de nouveaux partisans et à rappeler à lui les tribus qui l'avaient abandonné. Extrait de la folie des grandeurs