Croissance économique: 31/07/2020: 2e trimestre 2020 – 13,8 %: T/(T-1) Consommation: 31/07/2020: Juin 2020: 48,1 milliards d'euros: ... En juillet 2020, le climat des affaires en France et celui de l’emploi, ... En juillet 2020…
Dans l’ensemble de la zone euro, le PIB chute de 12,1%, et de 10,1% en Allemagne, 10,7% en Autriche, 12,2% en Belgique. Jusqu’ici, le gouvernement prévoyait plutôt un recul de 8 %.
La BCE s'attend maintenant à une croissance de l'économie de la zone de 0,8% cette année, contre 1,1% prévu antérieurement, et de 1,3% pour l'année prochaine, contre 1,4%.
La baisse de la croissance du PIB des pays partenaires de la France est également inscrite dans le scénario des différents instituts entre 2018 et 2019. Une performance similaire à celle de 2019, toujours en deçà du niveau de 2018 (+1,7%). Le choc économique lié à l’épidémie de Covid-19 sera plus fort qu’attendu. Dans sa note de conjoncture, l’Insee prévoit un taux de croissance au premier semestre 2020 au même niveau, ou presque, qu’à la fin de 2019. Un chiffre impressionnant que le FMI avait anticipé à 37% dans un pays qui compte à ce jour le plus grand nombre de décès liés au coronavirus (152 082 à ce vendredi selon le comptage de Le rebond de l’été – qui n’effacera pas les -13,8% enregistrés entre avril et juin – devrait être à la mesure du trou d’air du deuxième trimestre : l’Insee a prévu une hausse du PIB français de 19% pour le troisième trimestre, la banque Natixis 16% et la Banque de France 14%. Mais ce n’est pas encore un retour à la normale. Les « colos apprenantes », une expérience à confirmerBruit, coronavirus : faut-il fermer les open-space ?Mali : le coup d’État déstabilise l’un des pays les plus pauvres au mondeMali, un défi supplémentaire pour l’opération BarkhaneCovid-19 : quelles restrictions pour les Français qui voyagent ?Canicule : le rafraîchissement arrive enfin par le nord-ouestCynthia Fleury : « Ne pas soutenir le soin, c’est ruiner la solidarité »Courances, un « jardin d’eau » sans cesse réinventéColombie : la chute d’Alvaro Uribe, ancien homme fort du paysÉtats-Unis, 20 morts dans une fusillade à caractère vraisemblablement raciste au TexasL'enquête russe revient empoisonner Donald Trump au CongrèsUne chanson qui nous emmène… au pôle Nord avec Dominique APODCAST - « Antisémitisme au XXIe siècle, pourquoi est-ce encore possible ? Covid-19. Cet effondrement de l’activité est plus important en France que dans la plupart des pays européens et peut s’expliquer par le fait que les règles du confinement dans l’Hexagone ont été parmi les plus strictes d’Europe. Deuxièmement, l’investissement des entreprises. Croissance : la France a connu son plus mauvais printemps depuis 1949A Paris, le 15 mars dernier, deux jours avant le début du confinement.Découvrez en avant-première les deux premiers épisodes de la série «L'intox, c'est nous» D’autres qui ont repris doivent tourner au ralenti du fait de mesures nouvelles. Selon le Boston consulting group (BCG), la nécessité de nettoyer les postes de travail et d’éviter les croisements entre équipes a par exemple un impact de 10 à 15 % sur la productivité dans l’industrie.Selon les calculs de l’Insee, le PIB au deuxième trimestre devrait plonger de 20 %, après avoir déjà reculé de 5,3 % au premier trimestre. Et il est très peu probable que cela se produira.Le rythme de la reprise dépendra en fait, pour une bonne part, de l’attitude des consommateurs. Les sites du groupe Bayard D’autres sont à venir.En effet, la France, l’Italie et l’Espagne sont les pays qui ont le plus souffert en Europe, tandis que l’Allemagne a pu soutenir davantage son industrie. «L’équilibre est fragile et nous pouvons basculer à tout moment» vers une reprise incontrôlée de l’épidémie de Covid-19 en France, a averti le...Christian Lehmann est écrivain et médecin dans les Yvelines. Librairie | 11/08/2020 |
Alors qu’elles ont cru de +16 Mds EUR en 2019, les exportations françaises ne devraient croître que de +8 Mds EUR en 2020. Le PIB en France, après sa contraction au premier semestre 2020, commencerait à se redresser au second semestre, amélioration qui se poursuivrait en 2021 et 2022. En revanche, le moral des ménages, qui avait commencé à se redresser en juin, a de nouveau fléchi en juillet. Les investissements dégringolent de 17,8%, les exportations de 25,5%, tandis que les importations se contractent de 17,3%. Alors qu’il a cru de +3,4% en 2019, il ne devrait croître que de +2,3% en 2020. A ce jour, la plus forte baisse trimestrielle du PIB en France avant la crise du coronavirus avait été enregistrée au deuxième trimestre 1968, affecté par la grève générale en mai, qui avait été suivie par un rebond de 8% à l’été.Cette chute historique est cependant moindre que ce qu’anticipaient la plupart des analystes et l’Insee, qui l’entrevoyait encore à 17% au mois de juin. En cause principalement, la fin de la transformation du CICE en baisse de cotisations sociales, une transition qui a soutenu fortement la rentabilité des entreprises l’année passée. ORANO