L’étude d’impact des attaques terroristes sur l’activité touristique menée par le Ministère de la Culture, des Arts et du Tourisme a révélé des pertes directes de plus d’un milliard de francs CFA. Les fonds du tourisme servent à réparer les masques, à préparer à manger pour les étrangers venant aux funérailles et fêtes traditionnelles et à entretenir les infrastructures sur place". Il confie : "Le tourisme nous permet de réaliser nos projets.Il permet à la commune de faire des caniveaux et de soutenir ses activités sur le site du village touristique de Koro".
Chaque matin, recevez gratuitement toute l'actualité du jour par mail. En effet, les arrivées de touristes ont baissé de 3,9% et 3,5% respectivement en 2014 et en 2015. Ce secteur transversal devrait apporter mieux si les autorités lui accordaient de l’importance. Ce secteur transversal devrait apporter mieux si les autorités lui accordaient de l’importance. CHAPITRE I : DES DISPOSITIONS GENERALES. Comme vous le démontrez, l’apport du tourisme à notre économie est considérable. Proverbe du Jour : «C’est à chacun d’entre nous de cultiver le meilleur dans sa nature et de lutter contre le pire.» Kofi Annan Inscrivez-vous à la newsletter. Ceci pour présenter au public l’offre burkinabè en la matière sous sa meilleure facette et de susciter chez lui, l’envie d’aller à la découverte de la diversité culturelle et touristique du pays.Cette volonté s’est aussi traduite par la mise en place, au profit des acteurs, de cadres d’échanges et de réflexion sur les problèmes du développement du tourisme national et africain. Chaque matin, recevez gratuitement toute l'actualité du jour par mail. Chaque matin, recevez gratuitement toute l'actualité du jour par mail. De même, la construction d’infrastructures routières, d’accueil et d’hébergement relève du souci de rendre plus accessibles les destinations.C’est ainsi que, individuellement, en famille ou en groupe, la visite des sites touristiques rentre progressivement dans les habitudes des Burkinabè. Depuis plus d’une décennie, le Burkina Faso a adopté une politique de promotion de ses potentialités touristiques. Nathalie Sanou, élève en classe de 3e met chacune de ses vacances à profit en exerçant le métier de guide. !pour ma part j’irai au Maroc.Je ne peux que me rejuire de ces informations bien detaillees sur le tourisme au Burkina car je suis etudiant et je suis en train de mener des recherches sur le tourisme.L’auteur de cet ecrit est a saluer du fait que cela fait aussi l’honneur de notre pays.Bonjour votre article date certes, mais reste très intéressant !
Et comme elle le dit, "cela me permet de payer ma scolarité et mes fournitures scolaires".Le tourisme se dessine donc comme une source de revenus pour nombre de personnes. Cette dynamique s’explique par la volonté des pouvoirs publics de faire du secteur un des piliers de l’économie burkinabè.
Cependant, la relance de l’industrie touristique indique que nous nous investissions tous ; les crises et foyers de tension multiples ne sont pas faits pour attirer les touristes, ce sont nos valeurs humaines qui vendent mieux l’image de notre pays.Merci pour cet écrit. Pour rendre plus attractif le secteur à travers l’accueil et la conduite des visites, l’Office national du tourisme burkinabè (ONTB) a entrepris de former et ou de recycler les guides touristiques.Choisi parmi ceux formés par l’administration ou sur promotion de la population, des guides locaux, régionaux et nationaux ont ainsi acquis des connaissances qui leur permettent désormais de mieux affiner leurs prestations. Ainsi en 2006, le Burkina a accueilli entre 250 000 à 300 000 touristes qui ont généré plus de 35 milliards de F CFA de recettes pour les quelque 17 000 personnes qui vivent directement ou indirectement du secteur.Etre le "hub" pour toute l’Afrique de l’Ouest est un projet ambitieux qui, à tout prix, nécessite d’énormes sacrifices et une volonté affichée d’accompagnement d’autant plus urgente que dans la sous-région, des pays comme le Mali, la Côte d’Ivoire et bien d’autres visent eux-aussi la première destination.Il est donc nécessaire d’accroître d’abord les capacités de desserte de l’aéroport international de Ouagadougou, situé à seulement une heure de vol d’une quinzaine de capitales de la sous-région, le Burkina Faso dispose d’atouts considérables : les dunes vives du Nord ; la forêt, les grands fleuves et les collines au Sud et à l’Ouest ; les plus grandes réserves d’animaux sauvages de la région à l’Est et enfin les sites culturels situés partout à travers le pays.Notre pays dispose d’autant de potentiels que de formes de tourisme à développer. Article 2 : Les principes généraux du développement du tourisme, ci-après déterminés par la présente loi s’appliquent à l’Etat, aux collectivités territoriales et aux différents acteurs intervenant dans le secteur du tourisme. Véritable passion pour certains, il constitue pour d’autres un métier ou mieux, un important levier de développement. Parmi ces secteurs, les plus emblématiques sont ceux de l’Agriculture (production végétale et élevage), les mines, la promotion immobilière, les énergies Il s’agit, en somme, de guides compétents et vivant du métier, que les structures en charge du tourisme forgent pour améliorer et rendre davantage efficaces les offres de services sur le terrain.Si la construction d’infrastructures sur les sites touristiques vise à réserver d’agréables conditions de visite et de séjour aux amateurs des merveilles de notre nature, il n’en demeure pas moins qu’elle se révèle comme un important facteur de développement.La construction et l’entretien des infrastructures, en d’autres termes leur gestion se fait sur la base d’un protocole d’accord entre l’ONTB et les acteurs locaux (guides, comités villageois, collectivités…). Pour le Burkina Faso, le tourisme se présente aujourd’hui comme un secteur prometteur, tant pour les communautés de base que pour les structures qui en ont la charge.